les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
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les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 18:16
Un petit topic sur les hack and slash, malheureusement trop peu présents ces derniers temps à mon goût.
Alors, qu'est ce qu'un hack and slash :
Le hack and slash (ou hack and slay) fait référence à n'importe quel type de jeu dont le principe repose sur du combat rapproché à l’aide d’armes tranchantes. Un terme qui tire son origine du jeu de rôle, et qui a été transféré au jeu vidéo.
Dans ce deuxième cas, le hack and slash consiste à exécuter des attaques en temps réel, que l’on pourrait opposer au jeu de rôle au tour par tour. Mais la frontière qui le sépare des RPG classiques actuels reste assez tenue. On pourrait souligner que le RPG privilégie le scénario, et le hack and slash l’action. On notera toutefois un certain aspect péjoratif du terme « hack and slash » dans le cœur de beaucoup de joueurs. Pourtant il y’a quelques bijoux. Une traduction française, autre que hacher et trancher, est porte-monstre-trésor. Passer une porte, tuer un monstre, obtenir un trésor … et ainsi de suite, soulignant l’aspect répétitif de la chose.
Un petit inventaire de Hack and slashs qui m’ont marqué, donc non exhaustive comme d’habitude, mais toutefois fournie. Si on peut estimer que gauntley est un des premiers hack and slash, le jeu qui a popularisé le genre est bien sur le suivant :
Diablo 2
Suite de diablo 1 évidemment. Le hack and slash référence pour beaucoup de joueur … mais pourquoi ?
Ce jeu sorti en juin 2000 repose pourtant sur un scénario des plus classiques. Bouter un méchant démon hors de notre terre, non sans exécuter tous ses sbires et ses semblables au préalable. Certes le scénario n’est pas le point fort d’un hack and slash, mais pour celui-ci, on fait vraiment dans le minimalisme.
Ce jeu est composé en 4 actes, auquel vient se greffer un 5è, via un add-on. La réalisation technique était plutôt bonne lors de sa sortie, mais si le premier acte parait bien terne.
Premier point fort : la possibilité de personnaliser son avatar par le choix de 5 classes bien distinctes, auxquelles se rajoutent deux classes dans l’add-on. Ces personnages sont différents aussi bien dans leur aspect que dans leur compétence et dans leur armement, ainsi que dans l’optimisation de leur armement. L’hyper-spécialisation est poussée à un tel point que beaucoup de joueurs online optimisent un ou deux uniques sorts pour une classe de personnage précis.
Deuxième point fort : le mode online justement, Battle.net. Le serveur de Blizzard date, mais est toujours aussi actif. Une communauté suffisamment solide a permis à ce jeu de garder, voir d’accroître, sa réputation au fil du temps.
Troisième point fort : les armes et armures fournies par le jeu sont parfaitement lisibles et équilibrées. La proportion d’arme classique/magiques/légendaires/de set … est très cohérente, et parfaitement associé à la difficulté des ennemis battus ou à la présence des coffres dans les donjons. La recherche de ces armes est d’ailleurs le socle de ce jeu, et propose une durée de vie quasi-infinie.
Le reste est assez classique. Les ennemis, les donjons, les boss ne font pas forcement dans l’exceptionnel, mais sûrement dans l’efficace. Le challenge est là, mais pas plus qu’il n’en faut. Le dépaysement est garanti à chaque chapitre, mais les décors restent dans les classiques du JV. Par contre chaque acte est conclut par une cut-scène magnifique.
Donc a priori ce n’était pas compliqué comme challenge. Une réalisation honorable, un panel d’ennemi relativement vaste, des classes de perso bien distinctes, un mode online qui tient la route, et des armes équilibrées. Diablo 2 aurait du être écrasé par l’avancé constante du nombre de Ghz proposée par nos ordis.
Sacred :
Un jeu qui avait tout pour plaire.
Les personnages sont assez originaux pour un hack and slash : séraphin, vampire, elfe noir, démon, et ont le bon goût de démarrer le jeu avec chacun leur mini-quête.
L’unique carte du monde est magnifique, gigantesque, et variée au niveau des décors ainsi que de la géographie. Un peu la reconstitution d’un continent parcourant l’hémisphère nord, de l’équateur au pôle nord, et plaqué sur une carte 2D. Et il est possible de la traverser en long et en large, dès que la quasi-intégralité en est parcourue. Les monstres et les ennemis en ont fait leur territoire, et seul quelques villes enclavées à droite et à gauche seront des lieux d’accueil, mais également de recueil pour de nombreuses missions. Ces villes sont d’ailleurs très vivantes, les habitants s’expriment par des petites onomatopées à la sims, et vaquent à leur déplacement quotidien sans trop se préoccuper de notre présence. Il est d’ailleurs possible de monter un cheval pour joindre la ville suivante sans trop se soucier des ennemis.
Un autre point fort du jeu est la quantité énorme de missions proposées, et la possibilité de revenir ultérieurement dans une ville déjà visitée afin de découvrir de nouvelles missions. Certes certaines ont déjà été proposées, d’autres sont buggées, mais le tout est assez plaisant.
Et le scénario ? Un grand méchant a décidé d’invoquer un démon surpuissant, et c’est bibi qui va régler ça. La trame principale nous fera visiter cette carte en long et en large, et quelque fois un partenaire s’associera à notre périple. Rien de bien original, mais c’est pas trop mal rythmé dans l’ensemble.
Donc beaucoup de bonnes idées, et le jeu n’était pas loin d’être parfait. Mais pourquoi, pourquoi un système d’arme et d’armure aussi bordélique. Chaque arme peut infliger des dégâts physiques, magiques, empoisonnés, ou associés à un des 4 éléments de base. A chaque type de dégât est associé un chiffre et/ou un pourcentage. Le tout est totalement illisible, et il est très difficile de comparer les puissances respectives de chaque arme. Au final on garde l’arme la plus chère en estimant que c’est la meilleure, mais ce n’est guère convainquant. Dommage.
Dungeon siege :
Hack and slash ou pas hack and slash ? Si on passe toujours son temps à taillader des ennemis, cette fois-ci il est possible de le faire en équipe. Une petit association de guerriers/archers/magiciens permet de personnaliser la troupe à sa guise, et ainsi de triompher de … euh .. des forces du mal. On perd un peu en dynamisme ce que l’on gagne en stratégie. Le jeu est sympathique, même si le monde parcouru fait très « couloir ». La perte de dynamisme peut entraîner une certaine lassitude en cours de jeu. Les équipements proposés sont assez équilibrés, mais sans toutefois atteindre la perfection d’un diablo 2. Un bon petit jeu en somme, mais que l’on rechigne parfois à finir.
Beyond divinity :
Je ne vais pas refaire un gros paragraphe dessus. En bref, une sorte de baldur’s gate version hack and slash. Plus de missions/combats pour moins de scénario/background. L’association d’un personnage principal et de son alter-ego chevalier noir, liés à la vie et à la mort. Moche mais agréable à jouer. Un jeu qui devient tout de même assez vite monotone, même si il possède un humour noir tout à fait agréable. Il est d’ailleurs assez agréable de voir un certain nombre de missions pouvant se finir de différentes manières. Notre ami chevalier noir peut parfois nous orienter vers des solutions assez radicales.
Baldur’s gate I et II, champion of norrath I et II sur console :
L’intérêt de porter un hack and slash sur console peut sembler une hérésie. Surtout lorsqu’il a tendance à emprunter le nom d’un illustre RPG, sans le moindre rapport. Alors quel est l’intérêt de ce type de jeu, sans raccourcis, sans la maniabilité PC, et en version très simplifiée ?
Tout simplement de pouvoir l’emmener chez des potes, et de se faire une petite partie devant une pizza/bière. C’est une alternative agréable à un Pro evolution soccer, et c’est déjà pas mal. Chacun des ces jeux possède une réalisation soignée, une jouabilité immédiate, et un challenge intéressant.
Titan quest :
Probablement le clone le plus proche de diablo 2 sur le fond. Le jeu se situe dans le contexte historique de la Grèce antique. Puis propose de faire un petit tour en Egypte, suivi d’une traversée ouest-est de l’Asie. Le tout pioche dans les mythologies locales de manière plutôt adroite.
Un jeu assez soigné graphiquement, mais qui sollicite pas mal notre ordinateur.
L’originalité vient du fait de démarrer la partie avec un seul et unique avatar. La personnalisation viendra en cours de jeu, par le choix de deux spécialisations successives.
Le panel d’arme et armure est plutôt soigné et bien équilibré. Le dépaysement est garanti une fois de plus. Les niveaux à traverser regorgent de monstres, et sont plutôt bien construits.
Un bon clone à mon goût, même si il a été pas mal critiqué.
Voici pour un petit tour d’ensemble des hack and slash qui auxquels j’ai joué. Finalement un genre pas si éloigné de certains RPG comme FF12, les secret of mana ou les Kingdom heart, ainsi que d’un god of war.
Le jeu qui arrivera à faire la synthèse idéale de tous ces genres ne sera pas très loin de la perfection. Scénario, dynamisme des combats, panel d’arme quasi-illimité … peut-être diablo 3, peut-être un autre jeu.
Alors, qu'est ce qu'un hack and slash :
Le hack and slash (ou hack and slay) fait référence à n'importe quel type de jeu dont le principe repose sur du combat rapproché à l’aide d’armes tranchantes. Un terme qui tire son origine du jeu de rôle, et qui a été transféré au jeu vidéo.
Dans ce deuxième cas, le hack and slash consiste à exécuter des attaques en temps réel, que l’on pourrait opposer au jeu de rôle au tour par tour. Mais la frontière qui le sépare des RPG classiques actuels reste assez tenue. On pourrait souligner que le RPG privilégie le scénario, et le hack and slash l’action. On notera toutefois un certain aspect péjoratif du terme « hack and slash » dans le cœur de beaucoup de joueurs. Pourtant il y’a quelques bijoux. Une traduction française, autre que hacher et trancher, est porte-monstre-trésor. Passer une porte, tuer un monstre, obtenir un trésor … et ainsi de suite, soulignant l’aspect répétitif de la chose.
Un petit inventaire de Hack and slashs qui m’ont marqué, donc non exhaustive comme d’habitude, mais toutefois fournie. Si on peut estimer que gauntley est un des premiers hack and slash, le jeu qui a popularisé le genre est bien sur le suivant :
Diablo 2
Suite de diablo 1 évidemment. Le hack and slash référence pour beaucoup de joueur … mais pourquoi ?
Ce jeu sorti en juin 2000 repose pourtant sur un scénario des plus classiques. Bouter un méchant démon hors de notre terre, non sans exécuter tous ses sbires et ses semblables au préalable. Certes le scénario n’est pas le point fort d’un hack and slash, mais pour celui-ci, on fait vraiment dans le minimalisme.
Ce jeu est composé en 4 actes, auquel vient se greffer un 5è, via un add-on. La réalisation technique était plutôt bonne lors de sa sortie, mais si le premier acte parait bien terne.
Premier point fort : la possibilité de personnaliser son avatar par le choix de 5 classes bien distinctes, auxquelles se rajoutent deux classes dans l’add-on. Ces personnages sont différents aussi bien dans leur aspect que dans leur compétence et dans leur armement, ainsi que dans l’optimisation de leur armement. L’hyper-spécialisation est poussée à un tel point que beaucoup de joueurs online optimisent un ou deux uniques sorts pour une classe de personnage précis.
Deuxième point fort : le mode online justement, Battle.net. Le serveur de Blizzard date, mais est toujours aussi actif. Une communauté suffisamment solide a permis à ce jeu de garder, voir d’accroître, sa réputation au fil du temps.
Troisième point fort : les armes et armures fournies par le jeu sont parfaitement lisibles et équilibrées. La proportion d’arme classique/magiques/légendaires/de set … est très cohérente, et parfaitement associé à la difficulté des ennemis battus ou à la présence des coffres dans les donjons. La recherche de ces armes est d’ailleurs le socle de ce jeu, et propose une durée de vie quasi-infinie.
Le reste est assez classique. Les ennemis, les donjons, les boss ne font pas forcement dans l’exceptionnel, mais sûrement dans l’efficace. Le challenge est là, mais pas plus qu’il n’en faut. Le dépaysement est garanti à chaque chapitre, mais les décors restent dans les classiques du JV. Par contre chaque acte est conclut par une cut-scène magnifique.
Donc a priori ce n’était pas compliqué comme challenge. Une réalisation honorable, un panel d’ennemi relativement vaste, des classes de perso bien distinctes, un mode online qui tient la route, et des armes équilibrées. Diablo 2 aurait du être écrasé par l’avancé constante du nombre de Ghz proposée par nos ordis.
Sacred :
Un jeu qui avait tout pour plaire.
Les personnages sont assez originaux pour un hack and slash : séraphin, vampire, elfe noir, démon, et ont le bon goût de démarrer le jeu avec chacun leur mini-quête.
L’unique carte du monde est magnifique, gigantesque, et variée au niveau des décors ainsi que de la géographie. Un peu la reconstitution d’un continent parcourant l’hémisphère nord, de l’équateur au pôle nord, et plaqué sur une carte 2D. Et il est possible de la traverser en long et en large, dès que la quasi-intégralité en est parcourue. Les monstres et les ennemis en ont fait leur territoire, et seul quelques villes enclavées à droite et à gauche seront des lieux d’accueil, mais également de recueil pour de nombreuses missions. Ces villes sont d’ailleurs très vivantes, les habitants s’expriment par des petites onomatopées à la sims, et vaquent à leur déplacement quotidien sans trop se préoccuper de notre présence. Il est d’ailleurs possible de monter un cheval pour joindre la ville suivante sans trop se soucier des ennemis.
Un autre point fort du jeu est la quantité énorme de missions proposées, et la possibilité de revenir ultérieurement dans une ville déjà visitée afin de découvrir de nouvelles missions. Certes certaines ont déjà été proposées, d’autres sont buggées, mais le tout est assez plaisant.
Et le scénario ? Un grand méchant a décidé d’invoquer un démon surpuissant, et c’est bibi qui va régler ça. La trame principale nous fera visiter cette carte en long et en large, et quelque fois un partenaire s’associera à notre périple. Rien de bien original, mais c’est pas trop mal rythmé dans l’ensemble.
Donc beaucoup de bonnes idées, et le jeu n’était pas loin d’être parfait. Mais pourquoi, pourquoi un système d’arme et d’armure aussi bordélique. Chaque arme peut infliger des dégâts physiques, magiques, empoisonnés, ou associés à un des 4 éléments de base. A chaque type de dégât est associé un chiffre et/ou un pourcentage. Le tout est totalement illisible, et il est très difficile de comparer les puissances respectives de chaque arme. Au final on garde l’arme la plus chère en estimant que c’est la meilleure, mais ce n’est guère convainquant. Dommage.
Dungeon siege :
Hack and slash ou pas hack and slash ? Si on passe toujours son temps à taillader des ennemis, cette fois-ci il est possible de le faire en équipe. Une petit association de guerriers/archers/magiciens permet de personnaliser la troupe à sa guise, et ainsi de triompher de … euh .. des forces du mal. On perd un peu en dynamisme ce que l’on gagne en stratégie. Le jeu est sympathique, même si le monde parcouru fait très « couloir ». La perte de dynamisme peut entraîner une certaine lassitude en cours de jeu. Les équipements proposés sont assez équilibrés, mais sans toutefois atteindre la perfection d’un diablo 2. Un bon petit jeu en somme, mais que l’on rechigne parfois à finir.
Beyond divinity :
Je ne vais pas refaire un gros paragraphe dessus. En bref, une sorte de baldur’s gate version hack and slash. Plus de missions/combats pour moins de scénario/background. L’association d’un personnage principal et de son alter-ego chevalier noir, liés à la vie et à la mort. Moche mais agréable à jouer. Un jeu qui devient tout de même assez vite monotone, même si il possède un humour noir tout à fait agréable. Il est d’ailleurs assez agréable de voir un certain nombre de missions pouvant se finir de différentes manières. Notre ami chevalier noir peut parfois nous orienter vers des solutions assez radicales.
Baldur’s gate I et II, champion of norrath I et II sur console :
L’intérêt de porter un hack and slash sur console peut sembler une hérésie. Surtout lorsqu’il a tendance à emprunter le nom d’un illustre RPG, sans le moindre rapport. Alors quel est l’intérêt de ce type de jeu, sans raccourcis, sans la maniabilité PC, et en version très simplifiée ?
Tout simplement de pouvoir l’emmener chez des potes, et de se faire une petite partie devant une pizza/bière. C’est une alternative agréable à un Pro evolution soccer, et c’est déjà pas mal. Chacun des ces jeux possède une réalisation soignée, une jouabilité immédiate, et un challenge intéressant.
Titan quest :
Probablement le clone le plus proche de diablo 2 sur le fond. Le jeu se situe dans le contexte historique de la Grèce antique. Puis propose de faire un petit tour en Egypte, suivi d’une traversée ouest-est de l’Asie. Le tout pioche dans les mythologies locales de manière plutôt adroite.
Un jeu assez soigné graphiquement, mais qui sollicite pas mal notre ordinateur.
L’originalité vient du fait de démarrer la partie avec un seul et unique avatar. La personnalisation viendra en cours de jeu, par le choix de deux spécialisations successives.
Le panel d’arme et armure est plutôt soigné et bien équilibré. Le dépaysement est garanti une fois de plus. Les niveaux à traverser regorgent de monstres, et sont plutôt bien construits.
Un bon clone à mon goût, même si il a été pas mal critiqué.
Voici pour un petit tour d’ensemble des hack and slash qui auxquels j’ai joué. Finalement un genre pas si éloigné de certains RPG comme FF12, les secret of mana ou les Kingdom heart, ainsi que d’un god of war.
Le jeu qui arrivera à faire la synthèse idéale de tous ces genres ne sera pas très loin de la perfection. Scénario, dynamisme des combats, panel d’arme quasi-illimité … peut-être diablo 3, peut-être un autre jeu.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 19:45
Yeah. J'ai joué come un bourrin à Diablo 2 moi. Surtout du Nécromancien, c'était le moins chiant en solo je trouvais, t'étais toujours accompagné
Y'a Hellgate London qui va sortir le 2 novembre, fait par Bill Roper, le papa de Diablo (diablo 2 au moins). C'est entre hack 'n slash et shooter a priori. beaucoup le considère un peu comme le Diablo 3. Par contre, c'est futuriste, contrairement à Diablo.
Y'a Hellgate London qui va sortir le 2 novembre, fait par Bill Roper, le papa de Diablo (diablo 2 au moins). C'est entre hack 'n slash et shooter a priori. beaucoup le considère un peu comme le Diablo 3. Par contre, c'est futuriste, contrairement à Diablo.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 19:57
Je n'étais pas au courant de la sortie de ce jeu. Il va falloir que j'investisse vite fait dans un PC fixe. Et le coté futuriste peut être assez sympathique.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:02
Ben vu qu'il est plus chez Blizzard, niveau com, forcément ça peche plus.
Alors j'ai pas trop lu de trucs dessus, dans certaines previews on sent que le testeur s'attendait à un truc mieux. M'enfin moi, déjà si ça ressemble du Diablo, en jolie 3d, en futuriste et que ça bourrine, ça me va carrément. J'ai hâte de voir ce qu'il va donner celui-là.
Alors j'ai pas trop lu de trucs dessus, dans certaines previews on sent que le testeur s'attendait à un truc mieux. M'enfin moi, déjà si ça ressemble du Diablo, en jolie 3d, en futuriste et que ça bourrine, ça me va carrément. J'ai hâte de voir ce qu'il va donner celui-là.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:09
J'ai trouvé deux-trois infos dessus.
http://www.jeuxvideopc.com/articles/1478-e3-hellgate-london-nos-impressions/
Quelque chose plein de bonnes idées, mais pas forcement trop concluant pour l'instant.
Je ne suis pas un gros fan des FPS, donc je ne ne sais pas du tout si je pourrais apprécier ce jeu.
http://www.jeuxvideopc.com/articles/1478-e3-hellgate-london-nos-impressions/
Quelque chose plein de bonnes idées, mais pas forcement trop concluant pour l'instant.
Je ne suis pas un gros fan des FPS, donc je ne ne sais pas du tout si je pourrais apprécier ce jeu.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:13
Ben en même temps, ils disent que c'est plus à réservé aux fans de hack and slash qu'aux fans de fps, donc à voir. On va attendre les tests quoi.
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:21
Excellente idée ce topic! J'ai commencé assez tôt dans ce genre avec Gauntlet sur Master system mais j'ai vite laissé tombé pour y retombé quelques années plus tard avec PSO puis Baldur gates sur PS2 et depuis plus rien...
D'ailleurs, il est bien champion of norrath ?
D'ailleurs, il est bien champion of norrath ?
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:25
Il ressemble beaucoup aux baldur's gate PS2, enfin surtout le deuxième, et en plus soigné tout de même. De plus il est jouable jusque 4 joueurs, ce qui est toujours agréable.
Je n'ai fait que le second par contre, je ne sais pas ce que vaut le premier. Mais a priori il est dans la même veine.
Je n'ai fait que le second par contre, je ne sais pas ce que vaut le premier. Mais a priori il est dans la même veine.
- InvitéInvité
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mar 16 Oct 2007 - 20:30
Très PC comme sélection ... pour ma part j'ai fait les Champions of Norrath sur PS2, les Untold Legends sur PSP, Dungeon Siege sur PSP qu'est pas trop mal, et N3 sur X360. C'est pas mon genre de prédilection mais un petit HnS de temps en temps, ça se laisse jouer.
- InvitéInvité
Re: les hack and slash : Attention chérie, ça va couper
Mer 17 Oct 2007 - 20:00
J'ai fait Baldur's Gate moi... Sur PS2 même, oui monsieur !
j'avais bien aimé, oué.
j'avais bien aimé, oué.
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