Les livres qui vous ont marqués

Voilà un topic qui dira peut être quelque chose aux anciens d'Esprits Intéractifs. Le but est simple, on parles des bouquins qui nous ont le plus marqués. Avec détails ou pas, c'est à vous de décider. Je précises quand même que ce topic ne concerne pas les BDs et qu'on parlera uniquement de "livres sans images".

Pour ma part, je donnerais mon petit listing un peu plus tard dans la journée. Là, je dois prendre la route.

Je vais pas faire un listing complet mais plutôt venir sur le topic de temps en temps. Le premier livre auquel je pense est le livre "Ravage" de Barjavel.
Une histoire de science fiction passionnante, bien écrite et quand on y pense, pourrait nous toucher un jour.
Rapide synopsis tiré de Wikipedia:
Ravage présente le naufrage d'une société mécanisée, dans laquelle, un jour, l'électricité vient à disparaitre. Les habitants, anéantis par la soudaineté de la catastrophe, sombrent dans le chaos, privés d'eau courante, de lumière et de moyens de déplacement. Un thème typique de la science-fiction post-apocalyptique, brossant le portrait de la fin de l'humanité technologique.

Pou rappel, ce livre a été écrit en 1943.

Bref une tuerie

Tiens, jamais lu du Barjavel, mais je dois avouer qu'étant plutôt friand de science-fiction, le synopsis donne envie.

Sinon, de mon côté (je le ferais aussi en plusieurs fois, plutôt que d'écrire un pavé qui n'en finit plus):
Les chroniques des vampires, d'Anne Rice: Je n'ai lu que les trois premiers tomes de la saga mais je les ai à chaque dévoré. Si on peut regretter que La Reine des Damnés partent dans des délires un peu trop "God Mode" par moment, Entretien avec un Vampire et Lestat le Vampire sont juste deux livres absolument incontournable pour toute personne se disant amateur de suceurs de sangs. Ils ont réussis à revisiter le mythe du vampire sans pour autant les dénaturer , tout en proposant des personnages absolument fascinants, à commencer par ce cher Lestat. A noter que l'adaptation cinématographiques d'Entretien avec un Vampire est, en dehors de la fin, plutôt réussie. Au contraire de La Reine des Damnés dont l'adaptation est une grosse daube.
Pour continuer avec les vampires, Dracula, de Bram Stoker est bien évidemment un indispensable, ne serait-ce que pour connaître l'une des oeuvres fondatrices. Et ça se lit toujours aussi bien, même après plus de cent ans.

-Le Comte de Monte-Cristo, d'Alexandre Dumas Père, ou l'une des plus grande histoire de vengeance de l'histoire littéraire et accessoirement, le plus grand chef-d'oeuvre de notre littérature. Je n'ai rien lu d'autre de l'auteur mais un peu comme l'oeuvre de Molière, c'est un bouquin qui devrait être lu par tout français qui se respecte, ne serait-ce que pour connaître un monument de notre patrimoine culturel. La taille de l'oeuvre peut faire peur (dans mon édition de poche, les deux tomes réunis, ça doit faire un truc comme 1500 pages) mais c'est très bien écrit, très bien renseigné sur l'époque dans laquelle se déroule l'intrigue et le récit est tout ce qu'il y a de plus prenant.
Je penses d'ailleurs me relire le bouquin d'ici peu, ou alors entamé l'un des autres chef-d'oeuvre de Dumas, Les Trois Mousquetaires.

-L'oeuvre de Molière, vu que j'en parlais. De la comédie qui fait toujours son effet, et qui reste en cela un incontournable de notre littérature. Très peu de choses à jeter, juste la certitude d'avoir la banane une fois que l'on a finir de lire l'une des pièces du dramaturge. Mes pièces favorites: L'avare, Les Fourberies de Scapin, Dom Juan et Tartuffe.

Ah oui Molière. Justement, il y a 2 semaines, je suis allé voir jouer une copine (du théâtre amateur) dans Sgnarelle ou le cocu imaginaire. Bien poilant. Ça m'a un peu rappelé les études de texte que l'on faisait en 6ième sur les œuvres de Molière. Rien de mieux que le théâtre pour profiter pleinement de ses écrits.

Si tu aimes la Science Fiction, je ne peux que te conseiller toute l’œuvre de Barjavel. En plus de "Ravage", je te recommande aussi "La nuit des temps" qui est un de ses livres les plus connus.

Je garde un bon souvenir des "Guerriers du Silence" de Pierre Bordage. C'était un de mes premiers livres de science-fiction, cela a dû jouer. Un peu comme le "Le Monde des Ā" de Van Vogt.

Après, ces dernières années, j'ai eu un énorme coup de cœur pour Hikaru Murakami. "Kafka sur le Rivage" est juste jouissif à lire. Ce mélange de surnaturel avec de la vie réelle, ce côté envoûtant dans ces histoirses, je plonge à fond dedans. Ces recueils de nouvelles sont un peu moins bons qu'une vraie œuvre quand même, on sent un côté répétitif. En tout cas, j'ai hâte de m'attaquer à 1Q84.

Du côté de la fantasy, les 12 Royaumes m'ont particulièrement plu alors que le pitch de départ n'est pas des plus fameux. Mais le plaisir de découvrir un univers cohérent et abouti l'emporte sur le reste. Bon, c'est plus de la littérature jeunesse, mais la variété des personnages, la progression de l'héroïne, la découverte de l'univers reste passionnant imho.

Tu ne voulais pas plutôt dire Murakamai Haruki ?

Sinon, la suite:
-Toute l'oeuvre de Tolkien sur sa Terre du Milieu. Le Seigneur des Anneaux et Bilbo le Hobbit, bien sûr, mais aussi Le Silmarillon et autres Contes et Légendes inachevés. Ce n'est pas toujours très abordable en dehors de Bilbo et le SdA, mais si on s'accroche, c'est juste passionnant de découvrir toute la richesse de l'univers créé par Tolkien dont l'oeuvre est encore aujourd'hui la source d'inspiration de nombreux auteurs de fantasy.

-Je continues avec la fantasy avec justement l'un des fils spirituels de l'oeuvre de Tolkien, et à mon sens le meilleur de ses successeurs, à savoir le cycle de La Grande Guerre des Dieux de David et Leigh Eddings. Il ne faut pas chercher beaucoup d'originalité dans ce cycle. Les époux Eddings, grand admirateur de Tolkien, ont repris la recette de leur ainé en proposant une histoire (deux histoires en fait,mais j'y reviendrais plus tard) dont le cheminement s'en inspire grandement mais qui n'en reste pas moins très prenant à suivre grâce à son monde, sa mythologie et surtout sa palette de personnages à laquelle on s'attache sans peine, quand il ne nous font pas tout simplement rire comme ce cher roublard de Silk et son équivalent féminin qui apparaît dans La Mallorée, Velvet. Les livres se lisent en plus très bien et on dévore sans voir le temps passé les deux cycles (La Belgariade, et La Mallorée) et les deux préquelles (Belgarath le Sorcier, Polgara la Sorcière, qui sont des bouquins qui sont cependant à lire après les deux cycles principaux) qui forment cette longue saga qu'est la Grande Guerre des Dieux.

-Le Meilleur des mondes, d'Aldous Huxley. Fascinant et effrayant à la fois tant cette dystopie écrite en 1931 trouve de l'écho dans notre société actuelle. Il s'agit tout simplement de l'une de mes références niveau science-fiction. Ce roman d'anticipation nous décrit une société complètement aseptisée par la science, dans lequel l'homme n'existe plus réellement en tant qu'individu et où les émotions sont volontairement refoulés. L'homme y est complètement déshumanisé, jusqu'à l'apparition dans le récit du Sauvage, "être impur" ayant vécu toute sa vie dans une réserve qui va découvrir la cruauté de cette société anesthésiée menant au fur et à mesure vers une fin synonyme d'électrochoc pour le lecteur. Et j'exagère à peine en parlant d'électrochoc. Un grand bouquin qui donne à réfléchir et sur la société de l'époque de l'auteur mais surtout, et c'est là que Le Meilleur des mondes est le plus effrayant, sur la notre.

La suite, au prochain épisode.

Ah vi, je confirme pour Murakami ^^

Et je confirme pour "Le Meilleur des Mondes". La fin m'avait assomé à l'époque.

Et pour Barjavel, je n'ai lu que "la Nuit des Temps" et c'est effectivement un bouquin court mais redoutable. Comme quoi, y'a pas forcément besoin de faire long pour faire un truc réussi (parce que bon, maintenant, ce qui devient des classiques, ce sont des trucs qui font des milliers de page, j'ai l'impression).

Un jour il faudra que je me fasse une liste de tous les bouquins que j'ai lu... Ça me ferait gagner du temps sur ce genre de topic Là de but en blanc, les auteurs qui me viennent à l'esprit sont Sartre, Edgar A. Poe, Stefan Zweig, Lovecraft, Anne Mc Caffrey... Mais bon faisons dans le détail, je me concentrerai pour ce soir sur le livre que j'ai le plus lu jusqu'à maintenant, Le diable et le bon Dieu de l'ami Sarte justement.

L'histoire tourne autour du capitaine allemand Goetz dont la réputation d'homme sans foi ni loi ni honneur est connue de tous à travers le pays. Ainsi lorsque son frère, seigneur de la ville de Worms, se rebelle contre l'évêché, il lui prête ses forces pour mettre l'armée du clergé en déroute avant de trahir son propre frère et d'assiéger la ville avec la ferme intention de la raser et de tuer tous ses habitants. Car son moteur, c'est de faire le mal, de faire le pire qu'il est possible d'accomplir et il en tire une grande fierté. Charismatique et manipulateur, il tient à prouver que le diable n'a rien à lui envier. Pourtant au cours de ce siège, on le met au défi de faire l'inverse de sa propre nature, car le bien est beaucoup plus dur à réaliser que le mal, pari que Goetz relève avec arrogance.
Sur un fond de guerre, Sartre donne à réfléchir sur la nature du bien et du mal en allant au-delà d'un simple récit moralisateur. Le récit ne vante pas les mérites qu'on retire à faire ce qui est juste, mais pose plutôt la question de la possibilité de réaliser cela en tant qu'homme. Et ceux qui liront verront que cette tentative par Goetz de mener une vie de saint homme reste toujours inextricablement liée au mal et à la tromperie, comme si bien et mal ne pouvait en l'homme être dissociés. C'est un récit qui malmène tout les beaux discours sur le bien que nous pouvons entendre, qu'il soit religieux, politique ou éthique, l'ensemble reposant sur des personnages aux caractères très poussés et dans un style d'écriture d'une maîtrise géniale où chaque événement, chaque dialogue a un sens et un but. Et voilà, maintenant j'ai envie de le relire!

En ce qui concerne Barjavel, je n'ai lu que La nuit des temps, et ça m'a amplement suffit. En premier lieu je m'y suis repris à deux fois entre plusieurs années d'intervalle. La première fois j'avais trouvé le bouquin fade et ennuyeux, et je l'ai laissé tombé bien avant le début des événements centraux du livre (donc la décongélation). Je l'ai repris et terminé l'année dernière, mon constat n'aura pas été plus glorieux. L'histoire a été une plaie à lire tant les personnages et les événements sont peu intéressants. Les éléments de rebondissements sont jetés rapidement à la tête du lecteur sans prendre de gant, et sont pour la plupart constituées de ficelles grosses comme des cordes. D'ailleurs j'ai survolé plus qu'autre chose le récit d'Eléa tant le livre commençait à me gaver, et la fin ne m'a pas non plus donné une raison de sympathiser avec le reste du livre... Je trouve aussi son style fade et téléphoné, agrémenté par-ci par-là de métaphores poétiques d'un amateurisme affligeant. Barjavel, pour moi c'est aussi un auteur marquant, mais dans le mauvais sens en somme. Ceci dit un jour peut-être j'essaierai de lire Ravage.

Je ne connais que Le Joueur d'échecs de Stefan Zweig, mais le bouquin m'avait plutôt marqué. Je l'avais découvert à l'occasion d'une étude lors des cours de français en seconde et cela aura été l'un des rares bouquins proposés au cour de ma scolarité qui m'aura marqué. Le personnage de M.B., les confessions à peine voilée de l'auteur sur sa situation et sur celle du monde de son époque (notamment tout ce qui concerne le nazisme). Une fois le livre refermé, tu te dis que tu viens quand même de te prendre une bonne claque.

D'ailleurs, puisque je parles des livres qui m'ont marqués au court de ma scolarité, je peux aussi parler d'Inconnu à cette adresse, de Kressmann Taylor. C'est un très court roman épistolaire (même si vu la longueur du bouquin, je ne suis pas sûr qu'on puisse appeler ça un roman) qui nous raconte comme une idéologie, le nazisme encore une fois, va détruire une amitié entre un américain de confession juive et un allemand rallié aux idées d'Hitler. La finalité de cette correspondance en sera dramatique.

Dans le même genre, à savoir le roman épistolaire, il y a bien entendu le chef d'oeuvre de Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses et son duel psychologique entre deux libertins du XVIII ème siècle. Le seul livre étudié qui méritait d'être proposé au BAC l'année où je l'ai passé d'ailleurs. Selon moi, bien sûr.

Ouh là, je vais un peu baisser le niveau question lecture, mais ma première claque ce fut les Dix petits nègres d'Agatha Christie, un des premiers livre "adulte" que j'ai lu, ce côté décompte inexorable, perso n'étant pas tout blanc, un retournement digne du premier Saw, c'était très sympa à lire.

Plus tard j'ai lu Cujo de Stephen King, ou comment découvrir la peur à travers une situation réaliste et presque banale (un chien qui a la rage, des circonstances malheureuses), grosse bafasse dans ma tronche de jeune lecteur, on sent la descente progressive en enfer, une fin excellente et choquante, bref le début de mon histoire d'amour pour le King, suivront Simetierre, Brume et Minuit 2.

Récemment c'est Une étude en rouge de Sir Arthur Conan Doyle, divisé en 2 parties différentes, le final est exceptionnel, la naissance du mythe Sherlock Holmes.

Pour ma part, chez Stephen King, j'ai été traumatisé par "Christine". J'étais jeune, mais c'est bien l'une des rares fois de ma vie où j'ai été terrifié par un livre. Au point où j'en ai sauté des pages, voir des chapitres entiers. Je pensais que la fin me libérerait, mais pas du tout en fait. Ce qui est amusant maintenant, c'est de voir que les fins de film qui abusent de la ficelle scénaristique finale de "Christine", me font juste rire/pitié. J'ai trop bouffé de nanard moi :p

Tient, j'ai toujours été un fan de stephen king. Je suis d'ailleurs sur la part des ténèbres en ce moment (ce qui colle bien avec ma partie d'alan wake d'ailleurs).
Parmi ceux que j'ai préféré : bazaar, ça, insomnies, running man, ce que j'ai lu de la tour sombre (les 5 premiers pour l'instant) et différentes saisons.

Mais de manière générale, je me suis rarement emmerdé devant un S. King.

Sinon je suis également fan de Maxime Chattam et de ces thriller, avec en tête l'âme du mal.

Un bouquin qui m'avait beaucoup marqué durant ma prépa, c'est également W ou le souvenir d'enfance de Georges Perec.
Dans un autre registre, j'irai cracher sur vos tombes de Boris Vian.

De Stephen King, je connais surtout des romans qui ont été adaptés au cinéma ou à la télévision (ouais, il y en pas mal): Carrie, La Ligne Verte et surtout ça, qui avait réussit à me traumatiser encore plus que le film.
Par contre, La Tour Sombre, j'avais lu le premier tome et j'avais vraiment eu du mal à accrocher.

Le premier tome de la tour sombre est vraiment très très lent. Mais il n'est pas bien long. J'avais malgré tout bien aimé l'ambiance western post-apocalyptique.

En fait l'histoire s’étoffe vraiment à partir du second et prend de l'ampleur à partir du troisième. Ensuite, ça devient un peu difficile de suivre les évènements tellement ça part dans tous les sens. Mais un minimum, on ne peut pas reprocher à cette série d'être très riche.

Je n'avais pas encore vu ce sujet.

Pour ma part, dans la plupart des cas, un livre doit m'emmener loin de la "basse" réalité pour que je puisse accrocher.
Du coup, j'aime énormément tout ce qui est science fiction entre autres choses.
Je viens de relire La stratégie Ender en me demandant ce que j'en penserais (je l'ai lu alors que j'avais à peu près 20 ans et j'avais adoré). J'ai aimé même si certaines choses comme l'âge des enfants m'ont un peu fait tiquer.

A la vingtaine, j'adorais les oeuvres de Stephen King (j'avais lu les 3 volumes de Ca en une semaine) même si après je n'étais pas très fière car j'avais peur pour pas grand chose.
J'ai essayé de lire un Stephen King il y a peu et l'effet n'a pas été le même. Je me suis sentie très mal à l'aise vis à vis de scènes décrites et j'ai préféré stopper ma lecture. Je crois que je n'accroche plus trop à l'horreur.

J'avais vraiment beaucoup aimé aussi La nuit des temps de Barjavel.

Je n'ai pas encore lu La Belgariade, ni la Malorée, mais c'est au programme de cette année (si j'en trouve le temps du moins).

Sinon, j'aimais beaucoup aussi Marion Zimmer Bradley et Anne McAffrey.

Tout comme Corti, j'ai lu les 12 Royaumes (après avoir vu l'animé) et j'ai beaucoup aimé même si c'était estampillé "jeunesse". Je dois d'ailleurs encore lire l'histoire d'Erin (de Kemono no souja Erin) dont j'avais adoré l'animé (le livre est estampillé jeunesse aussi, mais l'animé m'a tiré quelques larmes).

J'ai aimé même si certaines choses comme l'âge des enfants m'ont un peu fait tiquer.

Faire tiquer, c'était un peu le but. Et je trouve d'ailleurs que c'est l'une des forces des bouquins. Voir des enfants aussi jeunes agirent avec autant de maturité et de pragmatisme, de l'être plus que la majorité des adultes, c'était clairement quelque chose de voulu par l'auteur pour créer un certain malaise chez le lecteur.

Fripouille > Le défaut pour Erin, c'est que Milan n'a publié que deux tomes sur quatre. Le côté positif, c'est que ça couvre la même partie que l'anime, le côté négatif, c'est que l'on n'a pas ce que l'anime n'a pas couvert.
Ceci-dit, même si les histoires sont assez identiques, il y a quand même quelques éléments différents assez intéressants.

dans It est assez déroutante. (Soit dit en passant il n'y a que deux tomes).

En Stephen King celui qui m'a énormément marqué c'est La ligne verte (première fois que j'ai pleuré en lisant un livre) et dernièrement de SK qui m'a beaucoup touché c'est 22/11/63. 
Argh je viens de penser qu'il faut que je relise Dr Sleep, un truc m'a "dérangé", dans le bon sens du terme, pendant la lecture mais impossible de l'identifier.

Sinon moi MA lecture phare, MON livre qui m'a marqué le plus de tous, pour dire j'ai plusieurs exemplaires disséminés dans mes vestes c'est Les fleurs du mal

Un topic sur les livres qui nous ont plu, je me dois de poster ici quelques uns des livres qui m'ont plu.

Ca de Stephen King m'avait assez fait peur dans le temps.
Pour ceux qui ont vu le film sans lire le livre, vous ne savez pas ce que vous ratez.
J'ai trouvé en tout cas que le livre était bien plus terrifiant.

Bilbo le Hobbit m'a aussi marqué. Je trouve le style du livre plus accessible que Le Seigneur des Anneaux. En même temps, vous me direz que le public cible n'est pas vraiment le même.

Voilà, deux livres qui m'ont marqué. J'en ai d'autres bien sûr.